Mgr JEAN-CHRISTIAN,
Prêtres Exorcistes

Mgr JEAN-CHRISTIAN

Mgr Christian

Evêque exorciste de la PETITE EGLISE APOSTOLIQUE VIEILLE CATHOLIQUE.

Prêtre exorciste depuis plus de 30 ans, combat les forces du mal par la prière, et les rituels
ancestraux de haute THEURGIE.
CONJURATIONS DÉSENVOUTEMENTS - IMPOSITION DES MAINS SUR LES PERSONNES OU LE BÉTAIL
- PURIFICATION DES HABITATIONS ET AUTRES LIEUX MALFAISANTS.
COMBAT LES PRATIQUES OCCULTES : MALÉDICTION - MALÉFICE -
MAUDISSEMENT - SORT DE FAMILLE - INFESTATIONS DIABOLIQUES
<< En confiant au Père Jean Christian le secret de vos malheurs dans leurs profondeurs, il vous rendra la part de bonheur que DIEU, de tous temps, vous a réservé dans son amour infini. >>
<< Vous savez que le désespoir est un péché ; alors, je souhaite que mon message soit pour vous le signal salvateur du sursaut et l'heureux présage d'une nouvelle destinée. >>
Quand tout a échoué, n'oubliez pas que le Père Jean Christian est votre ultime recours et votre dernier espoir.

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L'Histoire de La Petite Eglise

La fondation de la Petite Eglise remonte à la révolution française et à la première république. Depuis la création du royaume de France, le pouvoir politique et le pouvoir religieux se confondaient à tel point que la spiritualité des uns était volontiers mêlée au profit de l'intérêt matériel des autres. Cette situation devait détourner de la foi de nombreux Chrétiens ; ces derniers confondaient très souvent le bien fondé des saintes écritures avec le mercantilisme de certains ecclésiastiques.

Aussi, le 12 juillet 1790, l'assemblée nationale Française promulga la constitution civile du clergé et la nationalisation des biens de l'Eglise, alors premier propriétaire foncier de France.

Cette situation, mal expliquée au peuple, allait provoquer, de ce fait, la création de deux Eglises : une église constitutionnelle fidèle à la République et à ses lois, et une Eglise réfractaire à l'ordre établi. C'est cette dernière qui allait être à l'origine de la révolte vendéenne et de la chouannerie : cette guerre civile allait provoquer la mort directement ou indirectement de plus de cinq cent mille personnes en 5 ans.

En 1801, Napoléon Bonaparte, alors 1er consul souhaitant la paix civile, signa, après de longues négociations, le concordat avec le Pape Pie VII rétablissant le culte en France.

Les clauses du concordat bouleversèrent l'ancien état de l'Eglise de France. Celles-ci prévoyaient la création de nouveaux diocèses ainsi que la démission de tous les Evêques titulaires des anciens diocèses.

L'Etat nommait les Evêques et le clergé qui, en échange, et contre rétribution, prêtaient serment aux lois de la République.

La mise en place des dispositions liées au concordat provoqua la déposition de 82 évêques dont près de la moitié émettront des réclamations canoniques qui resteront sans effet.

Dès la publication des réclamations, de nombreux prêtres « réfractaires >> recommandèrent aux fidèles de ne pas suivre le nouveau clergé concordataire. Telle est l'origine de la Petite Eglise en France mais aussi en Belgique.

Histoire et traditions de la petite église apostolique vieille catholique

En effet, la réorganisation administrative de l'Eglise de France, toucha également le territoire de l'actuelle Belgique, les deux pays ne faisant alors qu'un.

En Belgique, un arrêté paru à Bruxelles fin avril 1797, imposa aux prêtres un serment de fidélité et de soumission aux lois de la République. Ceux-ci refusèrent, en grand nombre, et durent dès lors cesser leur ministère.

Le coup d'état du 18 fructidor de l'an 5 (05.09.1797) ramena les Jacobins au pouvoir à Paris. Aussi, dès la fin de 1798, les persécutions se firent beaucoup plus dures. Les prêtres non assermentés durent se cacher et le culte divin se fit clandestinement.

Cette persécution religieuse allait se prolonger jusqu'à la fin de l'année 1799, mais entre-temps certains prêtres seront déportés, d'autres, par contre, prôneront la résistance à l'occupant révolutionnaire. Parmi ceux-ci, nous trouvons le chanoine Corneille Stevens, qui sera dans notre pays l'âme de la résistance, au point d'organiser des communautés, de croyants à Namur, Sambreville, Andenne, Huy, Wavre, Halle, Gembloux et Bruxelles. Ils formeront l'Eglise Apostolique, appelée aussi l'EGLISE STEVENNISTE.

A partir de 1803, cette opposition deviendra une guerre de résistance systématique aux différents régimes français qui allaient se succéder sur notre territoire. Organisant une véritable Eglise Parallèle à l'Eglise officielle, Monseigneur Corneille Stevens sera le Pasteur infatigable de l'Eglise de ceux qui se considéraient comme les seuls vrais croyants.

Cette Eglise comptera des communautés, non seulement dans le Namurois, mais également dans le Hainaut et dans le Brabant Wallon où, pourchassé par les autorités, Monseigneur C. STEVENS trouvera refuge.

L'opposition des Stévennistes cessa cependant à la chute de l'Empire Français, lorsqu'en 1814 Monseigneur Stevens se ralliera à Monseigneur PISANI de la GAUDE, nouvel Evêque de Namur. Malgré cette union, la Petite Eglise Apostolique continuera d'exister sous l'autorité de son nouveau chef, l'abbé Gilles-François THEYS.

En vérité, l'Eglise Stevenniste, sous l'impulsion de l'abbé THEYS, devait aller beaucoup plus loin que son fondateur dans ses options fondamentalistes. Elle déclara que le concordat avait cessé d'exister par suite de l'adjonction des articles organiques et que les Evêques, légitimement institués, avaient perdu par leur juridiction par leur adhésion à ces derniers. Autrement dit, la réconciliation générale devenait progressivement impossible, malgré les ouvertures faites par le Saint Siège Romain.

Par la suite, forte de sa tradition, l'Eglise Stévenniste allait connaître une période d'accalmie qui lui permettra de s'établir et de se structurer sous la direction d'un Consistoire Général à la tête duquel allaient se succéder l'Abbé Gilles-François THEYS à partir de 1816 et l'abbé Philippe WINNEPENNINCKX qui dirigera l'Eglise de 1820 à 1837, année qui verra la concrétisation des rapprochements avec l'Eglise Catholique Gallicane de Monseigneur CHATEL.

Ce dernier répondant à la demande des Stévennistes Belges délégua, le 12 août 1837, Monseigneur Julien LEROUSSEAU comme Evêque des Stevennistes de Belgique.

Evêque et Président du Consistoire Stévenniste de Belgique, Monseigneur Julien Lerousseau ouvrira un lieu de culte officiel à Bruxelles en 1838 et s'intitulera le continuateur de l'œuvre de Foi fondée 30 ans plus tôt par Monseigneur Corneille STEVENS.

A partir de 1860, les communautés stévennistes cessèrent tous contacts, même informels, avec l'Eglise Catholique Romaine se confinant dans la pratique des coutumes religieuses traditionnelles et dans la lecture des Saintes Ecritures.

Faute de disposer d'un Pasteur consacré, les communautés Stévennistes éliront, à partir de 1856, un Père Spirituel qui aura en charge la conduite spirituelle des communautés en Belgique.

Cette tradition sera maintenue jusqu'en 1969, date où le 13ème Père Spirituel, Aimé BAUSIER, sera ordonné prêtre et par la suite consacré Evêque le 1er juin 1971 à Bruxelles par Monseigneur Charles BREARLEY, Archevêque Primat de la Sainte Eglise Vieille Catholique d'Angleterre.

Vivant, dès lors, en inter-communion avec l'Eglise Vieille Catholique, la Petite Eglise Apostolique ajoutera, le 1er novembre 1982, à sa désignation, la mention « Vieille Catholique ».

Aujourd'hui, c'est Monseigneur Christian VESTRAET, dit « Père Christian » qui veille aux destinées de la communauté des croyants, tout en assumant la charge de 14ème Père Spirituel du Consistoire Général des communautés Stévennistes de Belgique.

Actuellement, Monseigneur Christian VESTRAET est, par droit de succession, le Pasteur d'une Eglise née à la fois des bouleversements politiques et religieux de la Belgique et de la fidélité des croyants aux dogmes d'une Eglise postérieure au Concile Vatican I.

Il est à noter que la Petite Eglise Apostolique Vieille Catholique est pleinement une Eglise dans la mesure où ses Evêques et Prêtres sont les héritiers de filiations apostoliques incontestables, tant des Eglises Vieilles Catholiques de l'UNION d'UTRECHT que des Eglises SYRO-GALLICANES issues du Saint Patriarcat d'Antioche.

De nos jours, la Petite Eglise Apostolique Vieille Catholique rassemble les Chrétiens restés fidèles à l'esprit pur de l'EVANGILE. Elle veut maintenir la foi catholique tout en respectant les aspirations intellectuelles de chacun. Elle admet la liberté pour chacun de choisir entre les doctrines qui sont postérieures aux sept conciles EPHESE (431) - CHALCEDOINE (451) - CONSTANTINOPLE (381) - NICEE (315) - CONSTANTINOPLE (553) et NICEE (780), soit ceux du premier millénaire.

La PETITE EGLISE est catholique parce qu'elle est universelle. Elle est Apostolique car elle possède, depuis l'Apôtre PIERRE, la succession de ses ordres ecclésiastiques, transmise via le Saint Siège d'Antioche.

Le 24 septembre 1889, les différentes Eglises Vieilles Catholiques souscrivirent aux décisions de la Conférence Internationale des Evêques Vieux Catholiques et signèrent une déclaration de principe qui servira par la suite à la mise en place de la COMMUNION DE L'EGLISE VIEILLE CATHOLIQUE, dite de l'UNION D'UTRECHT.

Actuellement, la Petite Eglise Apostolique Vieille Catholique souscrit toujours aux articles de cette déclaration de principes.

En 1908, l'Eglise d'Utrecht, dans un désir d'expansion consacra Evêque Mgr Henri MATTHEW qui implanta en Grande-Bretagne une Eglise Vieille Catholique : Eglise qui, à son tour, conféra les pouvoirs apostoliques à la Petite Eglise Belge en 1971.

COMMUNION DES EGLISES VIEILLES CATHOLIQUES Déclaration de principe

  1. Fidélité de l'Eglise primitive des Conciles Généraux du premier millénaire.
  2. Refus du décret de Vatican I du 18 juillet 1870, sur l'infaillibilité du PAPE, mais reconnaissance du «< PRIMUS INTER PARES (premier entre les égaux) du PAPE.
  3. Refus de la définition de l'IMMACULÉE CONCEPTION DE MARIE dans les termes exprimés par le Pape Pie IX en 1854.
  4. Répudiation des décrets dogmatiques récents tels que les bulles << UNIGENITUS (1713), << AUTOREM FIDEI (1794), le SYLLABUS (1864) etc...
  5. Répudiation des sanctions disciplinaires du Concile de Trente, mais acceptation de ses définitions dogmatiques « sous réserve » de leur concordance avec les doctrines de l'Eglise Primitive.
  6. Réaffirmation des dogmes concernant la Sainte Eucharistie.
  7. Espoir d'une nouvelle entente des différentes branches de l'Eglise divisée et attachement à l'enseignement de Jésus Christ, seul remède contre l'incrédulité ou l'indifférence.

L'Eglise Catholique Romaine affirme la suprématie la suprématie et l'infaillibilité du successeur de Pierre, le Pape, d'où la nécessité d'un rattachement à Rome (primitivement spirituelle, puis, au cours des siècles, de plus en plus administrative). Les Eglises Vieilles Catholiques soutiennent au contraire que l'Eglise est d'abord « COMMUNION DE FOI » d'Eglises particulières, dans l'union des Evêques. Seuls les Conciles (ou réunion d'Evêques) représentent légitimement l'autorité de l'Eglise.

DE LA CONDITION DE VALIDITE DE LA TRANSMISSION DE L'EPISCOPAT

Celle-ci fut formulée par St Augustin, Evêque d'Hippone et Docteur de l'Eglise, en rapport avec la réconciliation avec l'Eglise, au Vème siècle, des schismatiques donatistes, et elle est exprimée comme suit :

<< en vertu du caractère indélébile qui lui a été conféré à sa consécration un Evêque consacré validement, mais excommunié par la suite ou seulement séparé de l'Eglise, garde le pouvoir de transmettre des Ordres valides à d'autres qui, à leur tour, peuvent les transmettre validement, en dépit de leur schisme >>.

Ce fut à la faveur de cet enseignement que le clergé donatiste fut reçu à nouveau dans l'Eglise sans réordination.

Cette doctrine Augustinienne précisée par St Thomas d'Aquin fut définie par le Concile de Trente comme dogme de la FOI. Elle assure la validité et la pérennité de la vie sacramentelle à travers les péripéties de l'histoire de l'Eglise.

Il est à noter que pour établir une succession Apostolique valide, il faut reconstituer la lignée des successions jusqu'à l'une des 5 grandes métropoles ecclésiastiques historiques du monde Chrétien, et de là, ipso facto aux Apôtres eux-mêmes, et donc, à Notre Seigneur Jésus-Christ.

Succession Apostolique de l'Eglise Vieille Catholique

Monseigneur Gérard GULL, Archevêque d'Utrecht de l'Eglise Vieille Catholique des Pays-Bas, consacra le 28 avril 1908 Mgr Arnold Harris Matthew comme Evêque de l'Eglise Vieille Catholique d'Angleterre en l'Eglise Sainte Gertrude d'Utrecht.

Mgr A-H MATTHEW consacra à son tour le 28 octobre 1914 Monseigneur Frédérick WILLOUGHBY.

Monseigneur Frédérick WILLOUGHBY consacra à son tour le 9 juillet 1922 Monseigneur James-Bartholomew BANKS.

Monseigneur James-Bartholomew BANKS consacra à son tour le 31 janvier 1954 Monseigneur Charles BREARLEY.

Monseigneur Charles BREARLEY, au titre d'Archevêque Primat de la Sainte Eglise Vieille Catholique d'Angleterre, consacra le 1er juin 1971 Monseigneur Aimé BAUSIER comme Evêque titulaire du Patriarcat d'Antioche pour la Belgique.

Monseigneur Aimé BAUSIER consacra Monseigneur Christian VESTRAET comme Evêque des communautés Saintes d'Europe de l'Ouest. Les évêques susnommés étaient de fidèles prêtres de l'Eglise Anglicane traditionnelle. Ce fut cette succession de consécrations épiscopales qui permit à l'Eglise Vieille Catholique de s'implanter en Belgique sous le nom de PETITE EGLISE VIEILLE CATHOLIQUE. Elle consacra, à son tour, d'autres Evêques pour la France, les Pays-Bas et les USA, ce qui permit l'extension de l'Eglise.

L'EGLISE VIEILLE CATHOLIQUE, née au XIXème siècle par suite de refus des innovations Romaines, en est au XXIème siècle à s'interroger sur le bien-fondé de la voie des patriarches et à examiner son identité spirituelle fondamentale. Elle admet qu'il y a une place à la réflexion et à la recherche sur les enseignements du Christ, les Ecritures et l'expérience de la foi vécue à travers les siècles. Elle s'efforce de demeurer fidèle à l'essentiel, tout en respectant le droit individuel à la recherche de la foi.

En cette fin de second millénaire, les tensions internationales et religieuses réactualisent les préoccupations des premiers temps de l'Eglise.

La PETITE EGLISE VIEILLE CATHOLIQUE a une certaine expérience des rapports tendus entre autorité religieuse et autorité politique, des compromis et des compromissions.

Elle sait que les confidences sont essentielles pour que s'établisse une relation de confiance, et que c'est souvent en marge des grands débats médiatiques que se trouve la voie de la sagesse.

Aux Chrétiens du 3ème millénaire, elle répète l'enseignement des premiers temps :

<< Laissons-nous conduire par l'Esprit qui est Amour >>

Contrairement à une opinion populaire, la PETITE EGLISE n'est pas fermée à l'Oecuménisme, mais n'a pas d'affiliation avec les organisations Oecuméniques. Elle est très active dans la recherche Oecuménique et entretient des contacts avec des mouvements Oecuméniques et des confessions Chrétiennes qui partagent ses croyances fondamentales.

La Petite Eglise Vieille Catholique a pour mission de proclamer l'enseignement de Jésus-Christ et de répandre la Bonne Nouvelle de son Evangile dans le monde, en s'efforçant de vivre selon les préceptes de l'amour, de la tolérance et de la compréhension mutuelle.

Elle est attachée à la promotion de la paix, de la justice, et du respect des droits de l'homme, ainsi qu'à la préservation de la création. Elle cherche à atteindre ces objectifs par le biais de l'éducation, de la prière, de la méditation, de la réflexion théologique et de l'action sociale.

La Petite Eglise Vieille Catholique accueille tous ceux qui cherchent la vérité et la spiritualité, quelles que soient leur origine, leur race, leur sexe, leur orientation sexuelle, leur situation économique, leur statut social ou leur appartenance religieuse antérieure. Elle croit en l'inclusivité de l'amour de Dieu et en la possibilité de la rédemption pour tous.

Ainsi, elle s'efforce d'être un lieu de rassemblement pour tous les croyants qui souhaitent approfondir leur foi, vivre une expérience spirituelle authentique et contribuer à la construction d'un monde meilleur et plus juste.

La Petite Eglise Vieille Catholique invite chacun à se joindre à elle dans cette quête spirituelle et à participer à la réalisation de sa mission, en accordant une grande importance à la prière, à la méditation, à l'étude des Ecritures et à l'action sociale.

Elle encourage également la discussion ouverte et le dialogue respectueux sur les questions théologiques et spirituelles, afin de favoriser la croissance spirituelle et la compréhension mutuelle entre ses membres et avec d'autres croyants de toutes confessions.

En conclusion, la Petite Eglise Vieille Catholique est une communauté de foi chrétienne qui s'efforce de suivre l'enseignement de Jésus-Christ, de vivre selon les valeurs de l'Evangile et de partager l'amour de Dieu avec tous. Elle est ouverte à tous ceux qui cherchent la vérité spirituelle, la paix intérieure et la communion fraternelle, et elle offre un espace où chacun peut grandir dans sa foi, s'engager dans l'action sociale et contribuer à la transformation positive du monde.

La Petite Eglise

Mission Saint Michel

EMAIL : jean@perechristian-exorciste.fr

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